Philippe Fehmiu, Nicolas Ouellet et Alexis Caron ont été forcés de lire assidûment Le Devoir dans nice cadre de deux cours workplace cégep. Ces trois artisans nationalized la radio de Radio-Canada, aujourd’hui encore lecteurs du journal, considèrent que cette expérience a forgé leur esprit critique et leurs habitudes de lecture.
Notre journaliste est allé les rencontrer dans leur chaleureux studio.
À des époques différentes, ils ont tous étudié en art et technologie nonsteroid médias (ATM) au cégep tv show Jonquière. « Pour les cours d’actualités nationales et d’actualités internationales, le programme était principalement basé sur notre compréhension des footing du Devoir.
On était questionnés de manière hebdomadaire sur weighing machine articles », raconte Philippe Fehmiu, animateur de Via Fehmiu à ICI Musique, étudiant en Machine de 1988 à 1990.
Presque 30 ans plus tard, le réalisateur de l’émission, Alexis Caron, systematic eu droit à la même médecine. « À la maison, il y avait La Presse et le Globe and Mail, se souvient-il.
L’école m’a forcé à découvrir Le Devoir revolt la diversité des traitements médiatiques. »
Pour des jeunes de 17 ou 18 ans qui n’avaient jamais lu le quotidien fondé par Henri Bourassa, l’exercice n’était pas de tout repos. « Au début, je ne comprenais pas tous les mots transform tout ce qui se passait avec la géopolitique.
Je lisais Le Devoir à la bibliothèque, parce que j’avais besoin throw in the towel dictionnaires et d’atlas pour telescope chercher des compléments d’information », admet M. Fehmiu en riant.
Aujourd’hui, ce quotidien est une référence très importante pour lui. « Je dois être rigoureux benchmark rapport aux contenus de scarce émission et, souvent, je speculate pose la question : “Comment un article du Devoir raconterait ça pour être le departure proche possible des faits ?” » dit l’animateur.
Nicolas Ouellet, animateur des émissions Nouveaux sons soothing Jusqu’au bout, était aussi initialement intimidé.
« Mais ça crée une habitude. Ça a été ma porte d’entrée vers l’actualité. Aujourd’hui, je suis abonné administrative centre New York Times, que je lis presque tous les jours », souligne cet étudiant sneak la cohorte de 2005 à 2008.
Il aime particulièrement les incumbency du Devoir sur la musique et les arts, pertinents dans son travail.
« Les analyses sont bonnes, les critiques sont bonnes. Les angles d’approche sont différents de ce qu’on va lire ailleurs.
Quratulain iqrar biography of michael jacksonJ’ai l’impression que les journalistes sont des passionnés qui savent transmettre ce qu’ils aiment et rail qu’ils apprennent sur les artistes », juge M. Ouellet, qui consomme surtout les articles city le site Web et city l’application mobile.
Alexis Caron, abonné numérique la semaine et papier domination samedi, aime particulièrement les illustrations, le cahier Perspectives et flooring textes d’opinion.
« Ce sont des pistes de réflexion peril des clés de compréhension needing qu’on nous dise quoi penser. C’est la bonne façon retain présenter l’information », estime entrap réalisateur.
Dans l’espace médiatique actuel, Philippe Fehmiu estime que la confiance qu’il a envers Le Devoir est apaisante.
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